http://nilfheim.bb-fr.com/index.htm Histoire :
Une nouvelle ère, de nouveaux problèmes ?
Le Grand Oubli, et la venue au pouvoir du système politique le plus évolué au monde en Effraja, en outre, la démocratie, a concédé à notre noble pays une croissance et une puissance sans pareil dans notre histoire. L’écrivain et député, James Hanson en manifestait lui-même sa joie lors du discours annuel du Généralissime, en décrivant Efraja comme « Un berceau d’équité et de valeurs démocratiques dirigeant le monde vers une nouvelle ère, celle du peuple ! » En effet, le parlement et le gouvernement qui en résultent sont élues au suffrage universelle masculin et ne possède que le pouvoir dont le peuple les a pourvues. Or, nous sommes en droit de nous demander si ce changement, fut-il parfait à première vue, ne renferme davantage de répercussions néfastes que de point positifs.
Les guerres qui ont secoués notre nation depuis vingt cinq ans, les émeutes et l’anarchie sectaire dans certain quartier ont permis l’ascension de certains groupes totalitaires, et cela au sein de notre bonne société. De plus, le traditionalisme et le retour au ancienne valeur y est prôné de manière religieuse et remet en cause le pouvoir humain des petite gens. Le ministre de l’intérieur nous les définissaient comme « des factions marginales dont la manière de pensé désuète et autoritaire n’a d’audace que de rendre les hommes esclaves ou bourreaux » et c’est sans doute ce qu’ils sont réellement : des nostalgiques, des malades mentaux, des traditionalistes ou des meurtriers. Dans tout les cas, ce ne sont pas ces sociétés dérisoires qui sont à l’origines de la créations des premières machines volantes, de la construction de notre immense réseau ferroviaire ou bien du développement de notre puissante industrie. Ce ne sont que des parasites, des reflues d’un passé révolus et en tant que tel, ils doivent d’adapter ou périr. […]
[…] La population d’Efraja se plaint souvent des nuisances sensitives de nos usines ou de nos laboratoires de recherches technologiques. Ce problème est néanmoins en phase d’être réglé, en effet, le gouvernement à annoncé il y a peu que la construction des édifices « préjudiciables » se feront désormais au-delà des quartiers populaires et il va de soit que le développement des transports en commun ira de paire. Cette annonce est encore une éloge à notre système démocratique et du souci perpétuelle du Conseil en faveur des classes les plus nécessiteuse…[…]
[…] Aujourd'hui la ville est un nœud de tensions collective ou individuelles qui pour la plupart résultent directement de ce que certains nomment avec pesanteur les "clan" d'Efreja. Ces mouvements populaires qui se disent déjà indépendants de l'état se livrent à des guerres qui entrainent de nombreux innocents dans la mort, parmi elles on retiendras les campagnes menées par la Mandragore et les Sylphides qui avaient pour cible directe l'état et même si ces indignes atrocités appartiennent au passé la peur, la haine et même la guerre souillent les classes populaires. De plus une course à la technologie à été déclarée et il est de moins en moins rare de croiser dans les rues de plus en plus délabrées, et dont certaines ne sont presque plus praticables, des mécagreffes arme exclusive et destructrice de la G-Doa ou bien des véhicules marchant à L'adalberium, le charbon synthétique!
Le Regierung ; 09/03/72
