Sujet : Devil may cry | | Posté le 16-01-2007 à 19:18:05
| Dante entra dans la pièce principale de l'agence, il ne s'attarda pas et ouvrit un placard où se trouvaient toutes sortes de bandages et autres produits phramaceutiques qu'il utilisait sur lors de ses missions pour soigner les éventuelles victimes des démons. Il prit quelques bandages puis se retourna après avoir fermé le placard. Dante fit quelques pas et prit un nouvel étui pour ses pistolets, l'ancien ayant été détruit par Laila au début du combat. Il rangea Ebony et Ivory, ses deux pistolets noirs et argentés dedans avant de l'enfiler autour de la taille. En s'apprêtant à repartir il s'arrêta près du bureau et activa le répondeur. Evidement aucun appel. Il sorti de chez lui pour retourner là où il avait laissé Laila. |
| | Posté le 16-01-2007 à 20:32:45
| Vergil revenait du monde des démons par la même porte qu'il avait déscellée, il marchait dans la ville Ogichi, là oû était installée l'agence de son frère. C'était le matin, et le ciel était éclairé par un magnifique soleil. Vergil alla dans une cabine téléphonique au hasard, et regarda le botin qui y était. Il chercha à "D". Monsieur Durend, Monsieur Dupont, Madame Domont, Monsieur Dicton, ah enfin il avait trouvé : Devil May Cry. Agence Devil May Cry plus particulièrement. Il regarda l'adresse et mémorisa le numéro de téléphone au cas ou, avant de fermer l'annuaire et de sortir de la cabine. Il appella ensuite un taxi jaune, qui s'arrêta devant lui. Vergil ouvrit la portière arrière et s'assit. -La vache, vous allez à un festival avec toutes ces armes ou quoi?! demanda l'abruti au volant, en riant. -Non, à l'agence Devil May Cry. -Ah ouais? Le chasseur de démon là! Alors comme ça, vous avez du démon à chasser, hein? hé hé hé! Mais pourquoi vous les chasser pas avec vos armes, elles sont en plastiques? -.... -Bon allez j'me tais, p'tit gars! Mais attention, moi j'conduis pas des tueurs à gages! Il explosa de rire de plus belle. -Bon, vous partez? -Ok ok, c'est parti! Le chauffeur démarra soudainement, ce qui propulsa Vergil contre le dossier du siége. Il roulait comme un cinglé, un fugitif poursuivit par la police. -Vous faites quoi dans la vie, vous?! -... -Ah ouais pas mal! ça m'a l'air interessant! Et pourquoi vous allez au Devil May Cry au fait?! -Mes affaires personnelles ne vous regardent pas. -Wouhouuuu calmos calmos! Okay j'me tais, man! Vous s'rez arrivé vous vous en serez même pas rendu compte! Cet homme était trop bavard pour Vergil. Il l'agaçait. Mais Vergil n'allait pas risquer de le tuer en public, il était dans le monde des humains à prèsent. Il conduisait vraiment très vite et imprudemment, Vergil décida d'attacher sa ceinture, puisqu'il n'arrêtait pas d'être balloté d'un côté à l'autre par le principe d'inertie, à chaque virages. Au bout d'une infernale conduite, il s'arrêta enfin devant l'agence. -Vous voilà arriver M'sieur! ça fera 37$40! Vergil paya l'homme, il était encore honnête, puis sortit de la voiture en prenant ses armes. Il regarda par la fenêtre de l'agence : personne. Il décida donc de l'attendre, adossé au mur en face. *Ne te fais pas trop attendre, Dante...* |
| | Posté le 17-01-2007 à 19:13:01
| Dante s'approcha de Vergil. - Que me vaut le plaisir de ta visite, Vergil? |
| | Posté le 17-01-2007 à 20:54:45
| Vergil fut ravi de voir son frère, et lui sourit. Il n'avait plus les mêmes traits sur son visage, il ne paraissait plus du tout froid comme il avait pu être dans le monde des démons. Ici, il paraissait même presque...amical. -Cela faisait bien longtemps, cher frère. Vergil commença à tourner autour de Dante en marchant lentement et toujours en ayant la tête tournée vers lui. Puis au bout d'un moment, il dégaina lentement Yamato et le pointa vers son jumeau. Il dit en souriant: -Tu n'as pas perdu la main, j'espère? |
| | Posté le 18-01-2007 à 06:13:09
| - Tu parles, c'est plutôt pour toi que je m'inquiéte. Dit-il en le narguant. Dante était très surpris de revoir son frère mais il ne savait pas si il devait l'être agréablement ou pas. Vergil s'était volontairement jeté dans le monde inférieur il y a quelques temps, Dante avait pensé que Vergil était soit mort soit corrompu par les démons. En tout cas il était persuadé de l'avoir perdu à jamais mais le voilà qu'un jour il le rencontre devant son agence. Les deux fils de sparda avaient pour habitude de se battre en duel lors de chaque rencontre entre eux, cette fois-ci ne semblait pas déroger à la régle. - Si tu veux tant le savoir, tu n'as qu'à le vérifier par toi même...Vergil. |
| | Posté le 18-01-2007 à 18:31:52
| Vergil fronça les sourcils mais son sourire s'élargit. -Soit, ce sera un réel plaisir! Il courut vers Dante, la lame de Yamato dirigée sur le côté droit, et une fois à bonne distance de lui, il fit un tour sur lui même, fendant l'air de son sabre par la même occasion, dans le but de toucher Dante à son épaule droite. |
| | Posté le 18-01-2007 à 20:40:30
| Dante exécuta un saut périlleux en arrière dans le but d'esquiver le coup. * Il faut avouer qu'il est toujours aussi rapide! * Il fonça la lame Alastor tendue en direction de Vergil( stinger ). |
| | Posté le 18-01-2007 à 21:05:53
| Vergil se téléporta juste derrière Dante afin de ne pas se prendre le coup, il dégaina Force Edge et éxécuta quelques mouvements vers Dante après s'être retourné, dans l'espoir de le toucher quelque part. *Il a eu des nouvelles armes depuis la dernière fois...Pas mal.* |
| | Posté le 18-01-2007 à 21:18:13
| Dante désaventagé par son attaque en ligne droite ne put esquiver les premiers coups et eut quelques blessures au dos avant de parer un des coups avec son épée. |
| | Posté le 18-01-2007 à 21:24:42
| Lorsque Dante para le coup d'épée, Vergil prit appuye sur Alastor avec Force Edge pour s'élancer en arrière. Il était en train de mener le combat apparemment, et en était satisfait. Il sourit à nouveau. -Tu t'es bien ramoli depuis la dernière fois, Dante. Vergil marcha vers Dante. Puis il se téléporta face à lui juste avant de se téléporter quelques mètres au-dessus. En retombant, il tenta de faire un coup dirigé vers le bas avec son épée Force Edge. C'etait la technique Helmet Breaker (briseur de casques), qui servait à terrasser des êtres en fendant verticalement leur crâne. Bien que Vergil semblait en forme, son corps commençait à trembler, et sa force semblait diminuer. Il n'avait pas mangé le matin, ni la veille au soir. Il était dur de se battre le ventre vide, et Vergil sentait bien qu'il n'était pas au mieux de ses capacités. |
| | Posté le 19-01-2007 à 18:05:33
| Dante essaya de parer l'attaque. |
| | Posté le 19-01-2007 à 18:29:31
| L'épée de Vergil se cogna contre l'épée de Dante qui avait paré l'attaque, ce qui lui fit perdre l'équilibre. Vergil avait frappé avec une telle force que son épée, en frappant celle de Dante, fut projetée en arrière (le retour des forces, 3éme loi de Newton), et il fut contraint de lâcher son épée, n'ayant plus les forces nécessaires à son maniement parfait. Vergil retomba debout devant Dante, désarmé de Force Edge. Dans un réflexe, il se téléporta de quelques mètres en arrière. Il tremblait à cause de la faim, très grande menace pour l'homme. *...Mince!...J'aurais dû manger ce que Tchii avait fait...Mes forces me quittent, je n'arrive plus à me concentrer!* Vergil posa un genoux au sol, toujours tremblotant de fringale. Il redressa la tête vers Dante. Lorsqu'il vit que celui-ci se moquait de lui, le fils de Sparda se força à se lever, bien que ses jambes eurent du mal à le tenir debout. Il dégaina Yamato. *Je n'ai même plus la force d'utiliser le Devil Trigger...Je vais devoir en finir rapidement, et récupérer son collier au prochain assaut.* Vergil tenta d'utiliser à nouveau son pouvoir de téléportation, mais il ne bougeat que d'à peine quelques centimètres. Tant pis, plus le temps d'hésiter, incapable de réfléchir à de bonnes tactiques de combat, il fonça sur son ennemi, en levant Yamato dans les airs. Il ne pensait même pas à se protéger, son cerveau était uniquement concentré sur son estomac. La faim est une arme capable de terrasser tout être, aussi démoniaque ou bon qu'il soit. |
| | Posté le 19-01-2007 à 21:18:33
| Dante ricanna. Il esquiva aisément l'attaque de Vergil et lui mit un coup de pied dans le dos pour le faire tomber. Contrairement à Vergil il avait bien mangé. - Ca fait longtemps que je ne t'ai pas vu si minable Vergil... Dante lui planta son épée dans le dos. Ce qui était presque comme une vengeance étant donné que lors de l'une de leurs rencontre, leur combat s'est terminé de la même façon sauf que les rôles étaient inversés. - Je vais prendre le tiens de collier tant qu'à faire. Il se baissa et retira l'amulette du cou de Vergil avant de reprendre son épée. |
| | Posté le 19-01-2007 à 23:04:37
| Vergil fut énervé par la réaction de Dante. Il ne voulait pas que l'on touche à son collier, il souhaitait même obtenir celui de Dante. Car les deux colliers n'étaient en réalité que les deux moitiées d'une clé. Une clé qui ouvrait la porte de la puissance, si on l'unissait à la fameuse épée légendaire de Sparda. C'est pour cette raison que Vergil voulait les deux colliers. Il voulait obtenir la toute puissance de son père. Lorsque Dante le lui prit, Vergil, bien qu'il avait mal par le coup que Dante lui avait porté, et qu'il tremblait encore de fringale, se retourna brusquement et lança avec fureur : -Rend-le moi!!! On pouvait lire la haine dans ses yeux. Son sourire s'était à prèsent éffacé, laissant place à une expression de frustration. Il tenta désespéremment de prendre son collier des mains de Dante. C'est alors qu'un autre collier, attaché au poignet de Vergil, s'envola lors du mouvement. Vergil regarda le pendentif : c'était celui que Tchii lui avait confié. A quoi aurait-il pu bien servir dans une telle situation? Cependant, dans la surprise, ses yeux se focalisèrent sur cet objet, et sans même y penser, il le rattrappa avec son autre main, sans être parvenu à récupérer son propre collier. Vergil recula de deux pas, et mit le pendentif de Tchii autour de son cou. Il se laissa tomber en position assise, sur le sol, et cracha du sang. Il regarda à nouveau Dante, toujours avec autant de haine. Il brandit sa main droite en position ouverte vers Dante et lui demanda: -Mon collier. Espérant que son frère jumeau le lui rende. |
| | Posté le 20-01-2007 à 11:26:49
| Elle arriva dans la ville, complètement paniquée et se concentra sur la source de lumière qu'émettait en ce moment même son collier. elle était à l'autre bout de la ville. Sans même réfléchir au fait qu'elle était dans le monde des humains, elle déploya nouveau ses ailes et vola jusqu'à sentir nettement la présence de Vergil. La douleur qui lui transperçait l'abdomen était effroyable et elle commençait à sentir s aplaie resaigner. Tant pis. Peu importe elle était envie et lui était en danger. Elle atterrit devant une agence appelée Devil May Cry. Bon sang elle commençait à en avoir marre des *Devil*... Sans réfléchir, elle entra en trombe dans l'agence et trouva Vergil, assis au sol. Son ventre siagnait à flots et il smeblait totalement épuisé. Elle jeta un regard horrifié à l'homme qui se tenait en face de lui. Son frère?!! Comment son frère avait il pu lui faire ça?!!! Elle s'exclama d'une voix terrifiée. Ca suffit!!! Un rayon de lumière projeta Dante contre un mur à l'autre bout de la pièce Elle se précipoita vers Vergil. elle aussi faisait peine à voir. Elle était recouverte de sang sèché, formant une particule noire sur sa peau verte de terreur, les cheveux de sa tresse étaient emmêlés de sang et de terre, son abdomen saignait à flots, sa robe était déchirée et une énorma plaie fendait l'arrière de son crane. Son arcade sourcilère avait été ouverte, ensanglantant la moitié de son visage. Mais c'était à peine si elle s'en rendait compte tant elle était obnubilée par l'état de Vergil. Des larmes d'angoisse coulaient sur ses joues et elle était fixée sur la paleur du visage du jeune homme Mais c'est pas vrai quel imbécile!! On ne se bat pas comme ça le ventre vide!!! Pourquoi n'avez vous rien mangé!!! Vous ne vous renderz pas compte qu'il y a des gens qui s'inquiètent pour vous espèce d'égoiste!!! |
| | Posté le 20-01-2007 à 11:52:09
| Vergil regarda Tchii. Elle non plus n'était pas dans un bel état, couverte de sang et de plaies...Il ne réagissait même plus à la morale que lui avait faite Tchii, il avait vaguement écouté mais ne parvenait plus à réfléchir correctement. -Et vous...Vous avez vu dans quel état vous êtes? Une fille sans défense ne se promène pas dans le monde des démons comme ça...On en reparlera plus tard... Vergil sortit un petit papier d'une poche de sa chemise noire et le tendit à Tchii. -Voici...l'adresse de ma résidence dans le monde des humains...Pouvez-vous m'y emmener?... Vergil tremblait encore beaucoup, et le sang qu'il perdait n'arrangeait rien. Il tourna sa tête vers Dante. -Nous nous reverrons, Dante... |
| | Posté le 20-01-2007 à 11:54:46
| - Que? Dante fut surprit par cette intrusion, cette personne semblait être un ange mais elle était ensanglanté ce qui n'était pas commun chez les anges. Dante s'était déjà fait attaquer par des anges mais jamais en territoire neutre et encore moins dans sa propre agence. Machinalement il dégaina Ebony & Ivory. - Qui êtes-vous? Comment se fait-il que vous soyez à ce point souillée?...Pour un ange. |
| | Posté le 20-01-2007 à 11:58:29
| J'ai rencontré un démon qui ne débordait pas franchement de sympathie envers moi,. Rien d'extraordinaire Tchii aquiesça d'un signe de tête et lança un regard un peu apeuré à Dante. Elle priait de tout son copeur qu'il ne soit pas aussi bête et méchant que Temosare parce que sinon, ils n'étaient pas sortis de l'auberge. Elle prit le bras de Vergil et le mit autour de son épaule. Quand elle le souleva, elle sentit uen douleur aigue lui transpercer le ventre. On avait pas idée d'être aussi musclé. Il pesait une tonne... J'espère pour vous que votre résidence n'est pas loin parce que je ne tiendrais pas longtemps. Avant de sortir, elle se tourna vers Dante et lui lança un sourire chaleureux. Désolée d'avoir interrompu votre combat mais Vergil n'était pas en forme et je suis sure que vous n'auriez pas aimé remporter une victoire ausis facile. |
| | Posté le 20-01-2007 à 12:02:22
| Dante s'assit à son bureau en regardant le collier de Vergil. - Ahahah il s'est enfin trouvé une petite amie, il commence à savoir s'amuser mais tout de même un ange?... |
| | Posté le 20-01-2007 à 12:15:20
| Elle haussa un sourcil, n'étant pas très bien sure de ce que voulait dire le mot petite amie. Puis elle baissa les yeux, rougissnat légèrement. détrompez vous. Il m'a sauvé la vie et il compte beaucoup pour moi mais je doute que ce soit réciproque. Encore désolée pour votre combat. Elle se dirrigea vers la porte et s'arrêta de nouveau, n'oubliant pas les règles de bienséance. Je... Merci quand même.... Heureuse de vous avoir recontré. Puis elle sortit et s'envola, faisant des efforts surheumains pour ne pas lacher Vergil en plein vol hj: Si tu veux continuer à parler avec Laila, j'ai fait un topic dans la plaine |
| | Posté le 20-01-2007 à 12:35:08
| hj : ok Dante observa à nouveau l'amulette. * En attendant, jusqu'à ce qu'il puisse le reprendre je vais le garder au cou. * Ce qu'il fit en mettant le collier autour de son cou, il détenait à présent les deux parties du cadeau de Sparda. Quelques minutes plus tard le téléphone sonna. - Devil May cry, j'écoute...Comment? Qui êtes vous? Une mission dans le monde inférieur? Vous savez qu'une telle mission sera considérée comme l'une des plus chères? Je vois vous connaissez déjà le tarif. très bien je m'occupe de retrouver et d'éliminer le démon nommé Zaragai. Dante raccrocha le combiné. - Enfin une mission, et elle risque de promettre celle là! Dit-il en prenant son manteau et en sortant de chez lui. |
| | Posté le 24-01-2007 à 19:50:40
| Laissant Tchii dans sa Corvette, qui était simplement arrêtée en plein milieu de la rue (il n'avait pas pris la peine de couper le contact), le jeune homme se dirigea vers l'agence de son jumeau. Aucune fenêtre ne donnait sur l'intérieur de la pièce, et il ne savait dire si c'était ouvert ou non. Il aggripa la poignet, et ouvrit la porte, avec un sourire aux lèvres. Un sourire qui disparut rapidement lorsqu'il s'aperçu que personne n'était dans la pièce. Dante n'était plus là? Ou bien peut-être s'était-il absenté l'espace de quelques minutes dans une pièce à proximité...Parceque c'aurait été vraiment inconscient de sa part de sortir de chez lui sans fermer la porte. Vergil attendit un peu, en balayant la pièce des yeux. Un bureau sur lequel était disposé un téléphone et quelques livres, une chaise, et pas grand chose d'autres...Il y avait cependant quelques meubles avec des tirroirs, peut-être que Dante avait soigneusement rangé son amulette?! Sans attendre le retour de son frère, il commença à fouiller le bureau de Dante. Il vida tous les tirroirs, explora chaque recoins de la pièce, mais il ne trouva rien. Aucune trace de sa précieuse amulette. L'aurait-il prit sur lui? Serait-il, par hasard, parti cherché l'épée de Sparda pour obtenir tous les pouvoirs de son père? Serait-il en train de piquer les pouvoirs que Vergil voulait s'approprier?! Cette idée fit froncer les sourcils au demi-démon, qui serra son poing droit avec fureur. -Dante... Il fit le tour des pièces voisines, mais ne trouva pas non plus son frère, ni son amulette. Peut-être était-il tout simplement parti en mission? C'était son métier, après tout. Mais pourquoi avait-il besoin de l'amulette de Vergil? Et pourquoi la lui avait-il prise après l'avoir vaincu? Par vengeance? Ou bien parcequ'il voulait également s'approprier la puissance de Sparda, que seule la personne qui trouverait son épée pouvait avoir? Un pouvoir unique, pouvant être maitrisé pourtant par deux personnes à la fois : Vergil, et son frère. Personne d'autre qu'eux ne pouvait manipuler l'immense pouvoir de Sparda, mais il était déjà partagé entre deux êtres. Mais jusqu'à maintenant, ce n'était pas bien menaçant pour Vergil, car, selon lui, Dante ne s'interessait pas à ce pouvoir : il voulait juste empêcher Vergil de l'avoir, ayant peur de ce qu'il pourrait faire avec. Mécontent de ne pas avoir trouvé ce qu'il cherchait, Vergil sortit de l'agence sans même fermer la porte. Il se dirigea d'un pas exceptionnellement rapide vers sa voiture, y entra et, bien qu'il était désapointé, ferma doucement la porte : il tenait à sa voiture, tout de même. Il n'adressa ni un mot, ni un sourire à Tchii, et accéléra d'un coup sec sans même la regarder. Sa nouvelle direction était cette fois-ci la porte qui reliait la Terre au monde des démons. Une porte cachée de tous, bien entendu, mais que seul Vergil et quelques rares personnes savaient trouver. Il conduisait toujours aussi vite, il décida même de passer la troisiéme vitesse, ce qui le fit foncer à plus de 200 km/h. Au bout d'un moment, une voiture de police le prit en poursuite, allumant la sirêne et le girophare. Vergil, imperturbable, continuait sa route comme si de rien n'était, les flics avaient beau le menacer, il ne réagissait pas. Personne ne pouvait dire s'il les écoutait vraiment ou non. Deux, trois, puis quatre voitures de police furent bientôt à sa poursuite, tentant de le doubler, de le prendre en sandwich ou de lui foncer dedans. La poursuite dura bien plus d'un quart d'heures, lorsque Vergil du faire face à un barrage de voitures de police. Il n'était pas assez fou pour le forcer, et s'arrêta juste devant. De nombreux policiers l'encerclèrent et le menacèrent avec des révolvers. -Les mains en l'air! Tel était l'ordre lancé par l'un d'entre eux. Vergil sourit en dégainant lentement son katana. Un katana de 75 cm contre 10 Bereta braqués sur lui?! A croire que Vergil était fou...Et pourtant, il était très sûr de lui. Il avait appris à contrer les balles des armes à feu de son frère, détestant depuis toujours ces armes, Vergil était donc intouchable par elles. Il lui suffisait d'exercer un mouvement très rapide de rotation avec son katana, perpendiculairement au sol, pour dévier toutes les balles qui arrivaient vers lui. Et cette défense avait toujours été infaillible jusque là. Aucun homme n'aurait pu faire cela, effectivement. Mais Vergil était à la fois un démon, et avait donc bien des capacités surhumaines. Et puis, même si, malencontreusement, une balle parvenait à percer sa défense, elle ne le tuerait point. Il en fallait plus qu'une balle en pleine tête pour tuer Vergil, tout comme son frère. Bien sûr, il ressentait la douleur comme tout autre homme, mais non seulement il guérrissait très rapidement, il pouvait également résister à des coups qui seraient mortels chez un humain normal. Il regardait à tour de rôle les policiers qui le visaient. Puis son regard vint se fixer sur Tchii. Il lui dit: -Ne bouge pas. avant de demander à la défense publique, en parlant plus fort pour que tous puissent entendre : -Ne touchez pas à la fille, elle n'y est pour rien. C'est moi qui était au volant, c'est donc moi que vous voulez arrêter. La situation aurait pu sembler dramatique pour n'importe qui, mais Vergil savait parfaitement qu'il maitrisait la situation. Ce n'était certainement pas d'absurdes armes à feu qui allaient le terrasser... |
| | Posté le 25-01-2007 à 17:04:19
| Quand Vergil sortit de l'agence, Tchii se sentit d'abord soulagée et essaya de lui sourire mais lorsqu'elle s'aperçut d ela fureur qui tiraits de son visage, son sourire s'effaça immédiatement. Que s'était il passé? Elle n'en savait rien. Elle savait juste qu'à ce moment précis, Vergil n'avait plus rien dde l'homme qui lui avait sourir dans la salle de bain. Il n'était plus que la moitié de lui même. Une moitié démoniaque et emplie de haine. Réprimant un frisson, elle attacha sa ceinture et n'osa rien dire, pétrifiée d'inquiètude. elle le détestait quand il était comme ça. Il lui faisiat peur. Et cette attitude qu'il avait ne faisiat que rappeler à la jeune fille qu'il était un démon, et qu'il ne cessait de creuser entre eux un fossé qu'elle ne pouvait atteindre. Cet homme qui était assise à coté d'elle n'avait rien avoir avec l'homme qui faisiat battre son coeur. C'était un étranger, un démon froid et cruel, capable du pire. Elle en venait même à craindre pour sa propre vie quand il était dans cet état la. Elle aurait bien pris un moment pour se morfondre sur son sort, mais il ne lui en laissa pas le temps. Il accèlèra d'un façon si violente qu'elle fut projetée sur le dossier de son siègfe et lui lan4a un regard terrifié. Les yeux rivés sur la route, il semblait ne même pas se rendre compte de sa présence. Il était complètement enlysé dans cet état de fureur qui l'avait gagné, allez savoir pourquoi. Elle tenta bien de le raisonner, lui hurla de ralentir avant de les tuer tous les deux mais les bruits du moteur poussé à bloc couvraient sa faible voix et même si par miracle il l'avait entendu, il n'aurait même pas relevé. C'était à peine si il prenanit conscience qu'il était au volant d'une voiture. Elle ferma plusieurs fois les yeux quand il dépassiat de voitures à toute vitesse et crut un millier de fois que sa dernière heure était arrivée. Son coeur battait si vite qu'elle ne parvenait même plus à endistinguer les battements et ses jointures devenaient blanches à force d'aggripper son siège. Quand elle vit la voiture d epolice les suivre, elle lança un regard effaré à Vergil, voyant qu'il ne ralentissiat même pas. Comptait il réèlement continuer ainsi?!!! Arrêtez vous, ça suffit! Stop!!!! Il tourna d'un coup sec et elle ne put retenir un hurlement, projetée contre la vitre à coté de son siège. Elle paniquait totalement, lançant de sregards paniqués aux girofards de la voiture qui les suivait, priant intérieurement le ciel pour que Vergil reprenne enfin pied et réalise qu'il était entrain de signer leur arrêt de mort. Quand une voiture leur barra la route, la Corvette pila si violemment qu'elle fut projeté en avant. Sa ceinture la retint, réveillant sa douleur ventrale. Elle poussa un faible gémissement et porta la main à son ventre, s'effondrant contre le siège, à moitié assomée par le choc. Quand elle vit qu'il prenait ses armes, elle eut du mal à en croire ses yeux. Elle le regarda, les yeux écarquillés de stupeur et d'angoisse? Pourquoi persistait il à ne pas comprendre le dramatique de la situation. elle murmura d'une voix faible. Vous êtes complètement fou arrêtez... Il ne l'entendit même pas. Et à la place de ranger ses armes, il lui ordonna de ne pas bouger. Terrifiée, la jeune fille tourna la tête vers les flics qui les encerclaient, le visage livide, son coeur battant à tout rompre. Bon sang mais que comptait il faire? Et qu'allaient s'imaginer les policiers qui la voyaient là, pétrifiée de terreur, aux cotés d'un homme qu'ils considèraient comme un fou dangereux. Surement qu'il l'avait prise en otage ou quelque chose comme ça. La situation était totalement désespérée et elle même commençait à s'inquièter de la santé mentale de Vergil. Il était parfaitement calme, comme si c'était quelque chose de parfaitement habituel. pire, il avait l'air parfaitement sur de ce qu'il faisait. *La c'est sur, on est morts...* Elle se tourna à nouveau vers lui, essayant dans une tentative désespérée de lui faire reprendre ses esprits. Je vous en prie, calmez vous et allez leur parler. Vous allez nous faie tuer si vous continuez comme ça. Ou encore pire, vous allez vous faire ficher comme un psycopathe prenant en otage des jeunes filles fragiles. Réveillez vous bon sang! |
| | Posté le 25-01-2007 à 19:03:57
| Le regard froid de Vergil se tourna brusquement vers Tchii lorsqu'elle lui avait adressé la parole, ses traits de son visage s'adoucirent alors et il lui sourit, mais ce sourire laissait transparaitre une idée malsaine et sournoise. Il déclara d'une voix douce: -Ne crains rien. Je te protégerais. Les policiers demandèrent à nouveau à Vergil de poser son arme et de lever les mains en l'air, ce qu'il ne fit naturellement pas. -Ne nous obligez pas à tirer, monsieur! Vous êtes cerné, rendez-vous tout de suite! Vergil continuait à sourire, il faisait quelque pas, en tournant sur lui meme par la meme occasion pour regarder les têtes des policiers une à une, et leur déclara : -Me rendre? Il ricana légérement, comme s'il se sentait hautement supérieur aux forces de l'ordre. -J'ai d'autres choses de prévues... Deux policiers se découvrirent de leur cachette, et se dirigérent doucement vers Vergil, toujours en le braquant avec leurs flingues. Vergil souriait. Il venait d'avoir une grande déception, et était furieux juste avant, mais il allait pouvoir défouler ses mucles crispés de haine. Il se dirigea également vers les deux policiers, leur souriant, son katana tendu sur le côté : il ne semblait même pas en position de garde. Il dit doucement et à lui même dans un soupir : -Aaah...Les humains et leurs pitoyables armes à feu... Le jeune guerrier pointa son katana en direction de l'un des deux policiers, se trouvant à 2 mètres de lui. Puis il leur demanda : -Allez-y, tirez. Tirez-moi dessus, ou bien je le tue. Aucun policier ne réagit. Bien qu'ils braquaient Vergil, ils n'avaient pas reçus l'ordre de tirer, et Vergil n'avait encore rien fait qui mérite la légitime défense des policiers. Voyant qu'ils ne tireraient pas, Vergil mima une attaque au sabre : il savait que là les policiers allaient réagir. Pas manqué, au moins la moitié des policiers prèsents tirèrent sur lui. Très rapidement et dans un mouvement presque invisible, il remit le sabre devant lui et fit tourner la lame devant lui avec une très grande maitrise et une rapidité hors norme. Toutes les balles ricochèrent sur la lame et tombèrent au sol, aucune ne toucha Vergil, toujours souriant et sûr de lui. Ce n'était pas la première fois qu'il paraît des balles d'armes à feu, pourtant touchant presque instantannément n'importe quel être humain. Les policiers furent très surpris et impressionnés. Les deux qui s'étaient avancés reculèrent rapidement. Vergil leur dit alors : -Voilà ce que je vous propose : vous nous laissez partir et vous m'oubliez, si vous tenez à la vie. Dans le cas contraire, il me faudra moins de temps pour tous vous tuer qu'il m'en a fallu pour arrêter vos futiles projectiles. Les policiers hésitèrent. Jamais ils n'avaient vu quelqu'un parer un tir avec une épée, jamais ils n'avaient vu quelqu'un d'aussi fort et habile que Vergil. Et ils ne savaient pas non plus ce qu'il leur réservait si jamais ils ne le laissaient pas fuir. Au bout d'un temps de réflexion et de bavardages entre eux, l'un des policiers rétorqua : -Hors de question de laisser une menace comme vous en liberté! Notre devoir est de vous arrêter! Vergil mit sa main gauche sur son visage et fit un signe montrant son affligeance : comment des hommes pouvaient-ils être aussi stupides? Quel bande de crétins asservis ne faisant qu'exercer les ordres de leurs supérieurs...Il se tourna vers sa voiture et s'y dirigea lentement, en disant : -Très bien, alors mourrez. Une dizaine d'épées de lumière bleue se crèèrent autour de Vergil : il y en avait autant que le nombre de policiers présents. Elles étaient dirigées vers le bas, perpendiculairement au sol, et entouraient Vergil, le suivant dans son mouvement. Vergil regarda Tchii plus sereinement et dit : -Désolé, Tchii, mais il semble que nos habitudes soient différentes et que nous n'ayons pas la même façon de vivre. Au moment ou les policiers tirèrent à nouveau sur Vergil, les épées de lumière bleue s'envolèrent et fondirent chacune en direction d'un policier différent. Alors que Vergil déviait à nouveau les balles très facilement avec son katana, les épées magiques vinrent s'enfoncer dans les corps des policiers : mais aucun ne fut toucher à un point vital. Il déclara avant de rentrer dans sa voiture : -Je vous laisse la vie, parceque j'estime qu'une jeune fille ne peut pas supporter de voir tant d'horreurs en une journée... Il s'assit ensuite sur son siège et reprit la conduite, revenant en arrière, deux voitures de police le bloquant devant. Il conduisait plus doucement à présent, et lorsqu'il passait devant les policiers tordus de douleur, il pu voir leurs visages horrifiés. Les épées de lumière bleue avaient éclatées en morceau puis disparues après avoir atteint leurs cibles. -Tu m'excuseras de ce léger contre-temps. J'ai rarement des ennuies avec les policiers, dans ce monde. |
| | Posté le 26-01-2007 à 13:44:16
| Les mains toujours aggripées à son siège, le visage bleme, elle semblait toujours aussi terrifiée qu'avant. Mais bien au contraire, la peur qui l'avait envahie quelques instants auparavant avait été remplacée par une colère bien plus violente que tous les accès d'agavcement qu'elle avait pu ressentir jusqu'à lors. Les sourcils froncés, elle murmura, les dents serrées. Arrêtez vous... Comme il ne semblait pas vraiment la prendre au sérieux et qu'il ne se donna pas la peine de répondre, elle tourna vers lui un regard rempli de rage. Arrêtez vous ou je vous jure que je saute!! Il fut bien forcé de s'arrêter... D'ailleurs, il essaya peut être de lui demander ce qui allait, ou de tenter de la calmer mais elle n'écoutait strictmement rien. Tout ce qu'elle voulait, c'était sortir de cet engin de malheur. Avant même que la voiture ne soit totalement arrêtée elle sortit en claquand a portière avec violence et marcha dans la diorection opposée, à pas rapide, bien décidée à rentrer à pieds si il le fallait. Les bras coisés, elle tapait du pied dans tous les cailloux qui se trouvaient sur son passage, tremblante de rage. Elle fulminait. Au départ, elle avait smplement été déçue qu'il ne prête aucune attention à elle, ou qu'il bouillone autant de haine, mais à présent, elle était simplement furieuse. Comment pouvait il avoir aussi peu de considèration pour elle? Elle se souvenait encore de ses paroles. Il semble que nous n'ayons pas les mêmes habitudes. Je t'en foutrait moi des habitudes différentes. Quoi, ça n'était pas dans ces habitudes d'écouter ce qu'on lui disait? Il la prenait pour quoi au juste? Une gentille pelluche tout juste bvonne à se faire protèger? C'était bien gentil tout ça, mais si c'était pour la traiter avec aussi peu de respect, autant ne pas la protèger!! Il était tellement obsèdé par le fait de montrer qu'il était le plus fort, le plus intelligent et le plus protecteur des démons qu'il ne prenait même pas en compte ce qu'elle pensait!!! Il se contentait de faire mumuse avec sa stupide voiture et se ventait ensuite d'avoir réussi à blesser une bande de policiers innocents et humains, alors que luii était démon et gavé de pouvoirs inutiles et destructeurs. Vraiment pas de quoi faire le malin!! |
| | Posté le 26-01-2007 à 19:43:01
| Après qu'il eut arrêté totalement la voiture, Vergil regarda dans le rétroviseur ce que faisait Tchii. Elle avait l'air de s'en aller. A pied? Seule? Dans une ville qu'elle ne connaissait même pas? Elle n'irait pas bien loin...Vergil attendit quelques temps dans sa voiture, espèrant que Tchii, comprenant qu'elle ne pouvait pas aller bien loin sans son aide, revienne. Il réfléchissait. Cette gamine semblait très en colère contre lui, pourtant, qu'avait-il fait de mal? Il s'était juste échappé d'une embrouille avec les policiers. Dans un premier temps, il voulu continuer sa route, laissant Tchii ici en se disant "tant pis pour elle". Mais, bien qu'à moitié démon, il ressentait de la pitié tout comme l'avait ressenti son père, lui entièrement démon, envers les humains. Et il ressentait également de l'amitié pour Tchii, même s'il ne lui disait pas. Il l'appréciait et voulait la protéger comme s'il s'agissait de sa petite soeur, bien qu'il n'ait eu qu'un frère jumeau. Elle était peut-être tout le contraire de lui, mais il tenait à elle. Et puis, elle avait été l'une des rares personnes à le considérer, et avait fait beaucoup de choses pour lui. Il se devait de lui rendre la pareille. En échange de l'attention que lui portait Tchii, il s'était promis de la protéger. De la même façon qu'il aurait dû protéger sa mère. Mais cette jeune fille était également une source de pouvoir pour Vergil : elle lui donnait une raison de se battre et, donc, de devenir plus fort, d'acquérir du pouvoir. A quoi aurait pu bien servir tant de pouvoirs si ce n'était pour rien en faire? Là, en voulant se venger, ou encore en voulant protéger un être cher, son pouvoir qu'il possédait et qu'il posséderait à l'avenir lui servait réellement à quelque chose : il en avait besoin. Comment alors pourrait-il laisser cette fille, si innocente soit-elle, dans une telle ville qu'elle ne connaissait pas, et oû le vice était partout? Après avoir réfléchie, il coupa le contact et sortit de sa voiture, en fermant doucement la porte. Il pouvait encore apercevoir Tchii dans la rue, assez loin. Impossible de se téléporter jusqu'à une telle distance. Et ce n'était pas dans son habitude de courir, il marchait presque toujours, même en se battant. Il commença alors à marcher rapidement vers elle, tentant de la rattrapper. Il y parvenu finalement après avoir fait des pas rapides, il retint Tchii par son épaule gauche avec sa main gauche et la fit tourner vers lui. Il déclara d'une voix douce et sereine : -Tchii...Excuse-moi. J'étais tellement préoccupé par l'idée de retrouver mon frère jumeau que je ne t'ai prété aucune attention. Il regardait fixemment Tchii dans les yeux, non pas froidement, mais avec un air sérieux. Que pouvait-il dire d'autres? Il s'était excusé et justifié, serait-ce suffisant pour que Tchii l'apprécie de nouveau?! Non, pensa t'il, il ajouta donc : -Si tu veux qu'on y aille à pied alors très bien, nous irons à pied. Cela prendra plus de temps, mais ça ne fait rien, j'ai toute une vie devant moi. Cette dernière phrase, il l'avait dit pour corriger l'idée qu'il était égoïste. Il l'était bel et bien un peu, mais s'il voulait retrouver toute la considération que lui avait porté Tchii, il devait bien surmonter ses défauts. Il continua son monologue : -Je t'en prie, viens avec moi....Je suis prêt à te promettre de ne plus utiliser la violence pour mon désir personnel...Et également de tout faire pour ne plus te nuire. Mais je...J'ai besoin de toi. Peut-être était-ce une phrase de trop?! On aurait pu penser qu'il considérait Tchii comme un simple objet ou but lui permettant de combattre, et qu'elle le prendrait mal. Il faut dire que Vergil n'avait pas pour habitude de dire ce genre de choses, et qu'il ne montrait jamais ses sentiments. C'était la première fois qu'il parlait ainsi à une fille. Il ne s'était peut-être jamais fait d'amis, ne s'entendant bien qu'avec son frère : et encore, quand ils se retrouvaient, ils avaient beau s'apprécier, ils se battaient toujours, non pas par méchanceté, mais plutot par tradition ou amusement. C'était deux jumeaux, tout deux fils d'un démon, et possédant de grands pouvoirs : chacun voulait probablement montrer à l'autre qu'il était le plus fort des deux, alors qu'ils étaient pourtant de force égale. Et même s'il avait eu des amis, jamais il n'avait eu de petites amies, jamais il n'était tombé amoureux d'une fille, et même s'il appréciait beaucoup Tchii, il ne ressentait pas de l'amour pour elle, pas au sens propre du terme. Il l'aimait comme une soeur, mais pas comme une fiancée. Elle était d'ailleur trop jeune par rapport à lui pour cela. Vergil avait certe le visage d'un jeune de 18 ans, comme son frère, mais ils avaient pourtant tous les deux 25 ans. Et même s'il ne connaissait pas l'age de Tchii, elle ne l'attirait de toutes façons pas au point de l'aimer ainsi. Il la voyait plutôt comme une petite fille marrante et gentille, trop naïve, et qui méritait qu'on la protége, en échange de son affection naturelle qu'elle portait aux autres. En effet, aux yeux de Vergil, Tchii semblait aimer tout le monde, même les hommes les plus ignobles. Afin de rectifier cette dernière phrase, pouvant porter confusion, il rajouta rapidement mais après mûre réflexion : -...Besoin de toi en tant que personne, en tant qu'amie, et non pas en tant que...raison de me battre. Bien qu'il cogitait tout en parlant, il ne savait pas quoi dire d'autre pour apaiser l'âme de cette jeune fille. Il espèrait que celle-ci prenne ses paroles au sérieux et les considère sincère. Ce n'était qu'une gamine, mais il ne souhaitait pas plus continuer son voyage en solitaire qu'il ne souhaitait la laisser seule à traîner dans cette sale ville. |
| | Posté le 27-01-2007 à 11:04:23
| Elle marcha longuement, ne sachant pas si elle devait prier pour qu'il la rattrappae ou l'inverse. Quand il finit par la rejoindre, elle fut tentée de lui demander d'aller se faire pendre ailleurs, mais ses paroles apaisèrent un peu la colère de la jeune fille. En effet, il balaya ern quelques mots toutes les choses qu'elle lui repprochait. Mais c'était loin d'être suffisant. Elle s'approcha de lui, et , bien trop énervée pour se contenir, elle le giffla. Risqué, mais ça faisiat tellement de bien. Elle bouillonait encor ede fureur et lui lançait un regard glacial. Elle lui laissa le temps de s eremettre un peu du choc avant de serrer les dents et de murmurer d'une voix cinglante. Je crois que jamais encore je n'avais rencontré plus stupid eet egoiste que vous!!! Comment avez vous pu imaginer un seul instant que votre petit numéro ne me ferait pas réagir, bon sang!!! Vous dites vouloir me protèger, mais je crois que personne ne m'a mise autant de fois en danger que vous en aussi peu de temps!! D'abord votre stupide conduite aussi irresponsable quze dangereuse, et maintenant ça?!!! Mais qu'est ce qui vous passe par la tête, a part de scourants d'air?!!! Et comment pouvez vous m'ignorer au point de m'écouter avec aussi peu de considèration, voire de ne pas m'écouter du tout, ou alors ne ne pas réfléchir à ce que je pourrai vous dire ou même penser en vouy voyant faire ça!!! Vous avez attaqué une dizaine d'être humain sans aucun répis, humains qui ne nous avaient encore rien fait!!! Qui vous dits que certains ne mourront pas des blessures que vouzs leur avez infligé hein?!!! Ce que vous venez de faire ne vaut pas mieux que ce que cet homme m'a fait, et contre qui vous semblez tellement en colère!!!! Comment ai je pu être bête au point de croire que... Elle s'interrompit, ne voulant pas trahir ses sentiments à son égard et reprit d'un ton plus calme. Et honnetement, si le fait de me protèger doit vous engager à me traiter avec aussi peu de respect, alors laissez moi me débrouiller toute seule!!! Je suis grande et jusqu'ici, j'ai parfaitement bien survécu sans vous!!! Je ne sais pas quel bloquage psycologique vous incite à me traiter comme une excuse pour venger votre mèr, mais je vais vous dire une bonne chose, elle ne serait pas très fière de ce que son fils vient de faire!!! Je ne suis pas un exutoire, merde!!! Et qui vous dit qu'elle a besoin d'être vengée?! Et moi, vous m'avez demandé mon avis avant de vous mettre en tête d'aller voir cet homme pour me vanger, au riosque de vous blesser pour une chose aussi superficielle à mes yeux que cette manie qu'ont les démons de toujours règler la violence par la violence hein?!! Vous avez réfléchi à ce que je pouvais ressentir face à vos belles paroles de vengence et de meurtre?!!! Je ne suis ni un exutoire, ni votre mère, ni votre pelluche!!! Mettez vous ça bien en tête ou alors partez, j'en ai par dessus la tête moi de votre matchisme arrogant et egocentrique!!! Elle se tut, essouflée, tremblante, les poigns serrés, prête à repasser à l'attaque, fulmianant de rage. hj: t'es pas non plus obligé d'écrire trois pages à chaquefois tu sais!^^ Et t'es un peu dur je trouve. Ta petite soeur, y a rien de pire!^^ J'espère pour toi que ça va évoluer un minimum! |
| | Posté le 27-01-2007 à 13:01:33
| Vergil fronça les sourcils et fit la moue. Il était exaspéré. C'était bien la première fois qu'une gamine à peine sortie de la cour de récré osa le gifler et lui parler sur ce ton. Il était peut-être gentil au fond de lui quand on savait le considérer, mais il ne fallait pas non plus abuser. Il avait fait un effort pour s'excuser, et s'était abaissé à dire de stupides paroles à cette sale gamine, et elle continuait de l'engueuler. Nan mais pour qui se prenait-elle? Elle n'avait plus rien de la petite ange fragile et innocente qui pardonnait tout et aimait tout le monde, là, elle était devenue une vrai peste aux yeux de Vergil. Ok, il avait fait une erreur, quoique pour lui c'en était pas une, mais elle pourrait lui pardonner et laisser passer, cette stupide gamine! Effectivement, elle aurait pu créer de la chaleur dans le coeur de Vergil, elle aurait pu le rendre encore moins froid et plus amicale qu'il n'était, mais lui criait dessus n'était pas du tout la bonne façon de faire! Bien qu'il était faché de la réaction de la fille, de son manque de compréhension, de sa stupidité, et du fait qu'elle ne puisse pas le pardonner, Vergil ne perdit pas son sang froid et resta calme. Il ne prit même pas la peine de répondre à la fille, elle n'avait pas voulu comprendre une première fois, inutile de réessayer. Oui, ce qu'elle disait était vrai. Il était égoiste, avide de pouvoir, et un peu prétentieux. Oui, il avait été pressé de retrouver son frère et son amulette, et donc il avait utilisé le potentiel de sa voiture. Oui, il avait blessé une dizaine de policiers, sans éprouver aucune pitié, dans la mesure ou il était pressé et qu'ils le menaçaient. Mais tout cela, il ne l'avait pas fait uniquement pour son plaisir personnel, il l'avait également fait pour cette fille qu'il appréciait. Il se retourna lorsqu'elle se tût, et fit trois pas doucement, en direction de sa voiture avant de s'arrêter. Il déclara enfin d'une voix calme : -Non, tu n'es pas ma mère. Ma mère est morte, et personne ne pourra la remplacer. Il marqua une courte pause, tournant son regard à nouveau vers Tchii avec un regard froid. -Surtout pas une gamine à peine sortie de ses couches, qui se permet de me faire la morale. Vergil se remit à marcher, toujours lentement, vers sa voiture. Il décrocha le collier que Tchii lui avait offert dans un mouvement violent, et le jeta en arrière, attérissant devant Tchii, sans même lui accorder un regard. Bien qu'il ne le montrait pas, il avait rarement été aussi triste au fond de lui : c'était bien la première fois qu'il avait perdu un ami. |
| | Posté le 27-01-2007 à 20:35:37
| Quant elle le vit s'éloigner, elle sentit son coeur se serrer comme jamais. Et lorsqu'il jeta le pendentif à se spieds ce fut pire encore. Les larmes aux yeux, elle se pencha en avant et le ramassa, le serrant dans son poing. Peut être s'était elle trop emballée. Mais cette attitude qu'il avait parfois avait le don de l'exaspèrer. Pourtat, cela justifiait il le fait qu'elle renonce complètement à la relation qu'elle avait réussi à construire avec lui? Non. La simple idée de se quitter sur cette dispute lui brisait le coeur. Et puis elle ne pouvait pas oublier les sentiments qu'elle avait pour lui. Le fait de ne plus le revoir la turait c'était sur. D'accord, elle avait été stupide de tomber amoureuse d'un homme qu'elle ne pourrait jamais comprendre totalement. Mais on ne choisit pas celui qu'on aime. Et puis... Elle voulait essayer. Elle ne pouvait pas se permettre de renoncer aussi facilement. Elle baissa les yeux sur le pendentif et le caressa du bout des doigts. Non. Elle ne pouvait pas abandonner. Peut être s'était elle engagée dans une relation impossible mais il était hors de question qu'elle le quitte. Même si il ne la considèrerait jamais comme elle le considèrait. Même si il était impossible qu'il ressente les même sentiments qu'elle, elle devait rester avec lui. S'excuser et l'obliger à la garder auprès d'elle. Parce que derrière cette tristesse qui l'envahissait à chaque fois qu'il creusait encore plkus le fossé qui était entre eux, elle ressentait un bonheur sans pareil à le reboucher ce fossé. Et elle était bien décidée à atteindre Vergil tot ou tard. Elle avança donc jusqu'à la voiture et monta dedans. N'osant même pas le regarder et se contenta d'attacher sa ceinture en murmurant d'une voix sombre. Même si vous vous obstinez à n epas entendr ce que je vous dits, il ets hors de questioon que je vous laisse vous faire tuer sans vous aider. Elle posa le pendentif sur la boite à gants près de Vergil et baissa les yeux, le coeur serré, une immense boule se formant dans sa gorge, tortillant ses doigts avec nervosité. je... je m'excuse de vous avoir dit toutes ces horreurs. Et aussi de vous avoir gifflé, mais... Vous comprenez, quand je suis avec vous je... je perds complètement mes moyens. Vous avez le don de multiplier par 1000 tout ce que je peux ressentir. Aussi bien la joie que la peine. Et tout à l'heure, je... Vous m'avez terrifiée. Elle étouffa les larmes qui lui brulaient le gorge et regarda le pendentif. Quand mon père m'a donné ce collier, il m'a dit de le donner uniquement à la personne que je voulais protèger par dessus tout. Il ne revient à personne d'autre que vous... |
| | Posté le 27-01-2007 à 20:52:22
| Dans la voiture, Vergil prit la main gauche de Tchii dans sa main droite, pour l'amener à le regarder, et la fixa dans les yeux en souriant. -Merci. Bien qu'il se soit disputé dans la minute précédente, il était heureux que Tchii soit revenue, et que leur relation ne se terminait pas ainsi. Il lacha la main de Tchii et prit son pendentif, qu'il mit autour du cou, toujours en souriant à Tchii. Il ralluma le contact de la voiture, mais avant de faire quoi que ce soit d'autre, il demanda à Tchii : -Et bien...Je n'ai pas retrouvé mon frère. Oû allons-nous, à présent? Son frère pouvait se trouver n'importe ou sur Terre, hors de question de partir à sa recherche : il valait mieux attendre son retour à son agence. Devaient-ils alors retourner dans le monde des démons? Il ne valait mieux pas, Tchii ne serait pas contente. Et puis, Temosare pouvait attendre. Surtout que Tchii ne voulait pas qu'il se batte contre lui, même pour la venger. Et il n'était pas pressant que Tchii revoit toutes les horreurs de ces lieux maudits. Ramener Tchii chez les anges? Cela pourrait se faire, Tchii serait en sécurité là-bas, au moins, mais ils seraient obligés de se séparer, ce qu'aucun des deux ne voulait. Il n'y avait plus qu'une solution : rentrer chez lui, en attendant que son frère rentre au Devil May Cry. Il portait toujours son amulette lorsqu'il se battait, elle était en quelque sorte un porte-bonheur, et il voulait la reprendre des mains de Dante avant de se battre contre Temosare oû d'autres démons assoifés de sang. |
| | Posté le 27-01-2007 à 21:02:54
| Elle eut un léger sourire, heureuse qu'il lui demande enfin son avis. Puis elle prit le pendentif que Temosare lui avait confié entre ses mains, le coeur serré. Elle sentait s aprésnece, tout près d'eux. Il était ici. La meilleure solution serait encore de retourner au paradis, mais elle n'en avait pas le courage. Elle ne voulait pas se séparer de Vergil, pas après s'être récociliée avec lui. Elle sentit un léger vrulure dans la main qu'il avait prise entre la sienne et eut un sourire, un peu triste, mais apaisé. Eh bien, vous vouliez aller voir cet homme il me semble. Ca ne m'enchante pas, mais il va beîen falloir que je le persuade de me laisser tranquile et je n'y arriverai pa stoute seule. Surtout que je crois que ce pendentif me lie à lui, d'une certaine manière. Je sais exactement ou il se trouve, ça veut bien dire que le contraire est vrai. Elle sentit son coeur se serrer d'angoisse. Elle ne savait pas si le fait de revoiir Temosare lui faisait aussi peur que le fait d'envoyer Vergil se battre contre un homme aussi puissant qe cruel. Elle inspira profondemment pour se donner courage et murmura d'une voix inquiète. Allons y. Mais promettez moi de ne rien faire de stupide. Si ça devient trop dangereux, je vous protègerai, mais il faut pour cela que vous laissiez votre orgueuil de coté et que vous acceptiez de fuir. D'accord? Elle lui lança un regard implorant, espèrant de toutes ses forces que cette dispute l'ai au moins fait réfléchir quant au fait que les propos de Tchii n'était pas toujours dénués de sens. |
| | Posté le 27-01-2007 à 21:12:39
| Vergil réfléchit un instant. -Aller voir Temosare maintenant? J'aurais préféré retrouver l'amulette de mon père avant...Mais ça ne fait rien, allons-y. Vergil accéléra, mais il respecta les limites de vitesse cette fois-ci, et il ne roulait pas à plus de 50 km/h. Il remit la musique en marche. Au bout de quelques minutes, il décida d'entamer une conversation : -J'ai cru comprendre que tu connais le rock! C'est mon frère qui m'a fait écouter quelques morceaux et qui m'a fait aimer. Il se mit à sourire, et déclara d'une voix amusée : -Hm, je lui dois quand même ça... |
| | Posté le 27-01-2007 à 21:18:56
| Elle eut un sourire légprement amusé et dcida de continuêr la conversation, heureuse de pouvoir enfin s eplacer sur le même longueur d'ondes aue lui. Elle aurait voulu lui demander ce qui les avait séparés à ce point lui et son père, mais le sujet était trop grave. Et puis ça pouvait attendre. Autant ne pas précipiter les choses. Elle décida de s'expliquer sur se sgouts un peu spéciaux pour une fille dont on s'attendait plus à la voir écouter l'ile aux enfants. Mon père était un fan de vieux rock. J'ai baigé dedans pendat toute mon enfance alors forcemment, réécouter tout ça me fait vraiment plaisir. Personnellement, j'ame beaucoup les vieux tubes, du genre les Cramberries, les Red Hots, et surtout Depeche mode. C'ets mon groupe fard. Mais j'aime ausis beaucoup Michel Polnaref, et mon père me faisait souvent écouter Muse, mais ils me mettent un peu mal à l'aise!^^ Elle sourit, un peu gênée d'avouer qu'une musique puisse la perturber mais bon, de sa part, il fallait s'attendre à tout. |
| | Posté le 27-01-2007 à 21:27:19
| Vergil s'arrêta à un feu rouge. -Cranberries, pas mal. J'ai particulièrement bien aimé l'une de leurs chansons, Zombies, je crois? Le feu passa au vert, Vergil reprit la route. -Mais je préfére le rock bien plus hard, et même le métal. Continua t'il en souriant. Avant d'aller à la porte du monde démoniaque, il s'arrêta devant un magasin de vêtements féminins. -Tu comptes porter mes vêtements encore longtemps, ou bien tu veux t'habiller avec un peu plus de féminité? Il sortit sa carte bleue, et la présenta à Tchii. |
| | Posté le 27-01-2007 à 21:44:10
| Quand elle entendit parler de métal, elle grimaça. Beurk. Mais bon, il faut accepter les gouts de chacuns. Et quand il lui présenta sa carte bleue, elle eut un sourire jsuqu'aux oreilles. C'est vrai je peux?! Elle prit, la carte, hésitante, le coeur battant. Elle était un ange mais c'était tout de même une fille. Et une fille aime les cartes bleues!^^ Elle sortit, fit le tour de la voiture, ouvrit la portière de Vergil et lui prit la main. Venez!! Elle lui laissa à peine le tempe de fermer la voiture avant de la trainer dans le magasin. Lançant un bonjour ravi, elle alla s'adresser directement à une vendeuse et lui demanda de sconseils. C'était une jolie fille, relativement bien habillée, quoiqu'un peu décoltée sur les bords, qui la regarda un peu bizarrement. Puis elle sourit. J'ai exactement ce qu'il vous faut. Allez vous mettre en cabine. Tchii sourit, lança un regard entendu à Vergil et entra dans une cabine d'essayage. La fille revint avec un ensemble très joli, composé d'un dos nu noir trèèèèès décolté, un pantalon taille basse et une paire de talons aiguille. Tchii enfila e tout et se regarda dans la glace, pas vraiment convaincue. Je... Je ne suis pas sur que... La vendeuse souit d'un air confiant et luii releva les cheveux avec une pince. Mais si. Rgeardez, vous êtes très jolie et il faut montrer vos formes et votre visage. Demandez à votre petit ami ce qu'il en pense. Pendant qu'elle disait ça, Tchii s'observait. Elle faisait 5 ans de plus avec cette tenue et c'était effectivement très agréable. Mais quand la vendeuse parla de petit ami, elle rougit violemment. Mais ce n'est pas mon... Sans attendre la réponse, la vendeuse la pouss adehors. Tchii se retrouva en face de Vergil, un peu gênée, et baissa les yeux. Je... Je ne sais pas i c'est très aproprié. |
| | Posté le 27-01-2007 à 22:04:37
| Vergil ne savait pas quoi dire. C'était la première fois qu'il emmenait une fille faire du shopping, et il n'était pas vraiment branché mode : comme son père, il s'habillait toujours de façon aristhocratique. Pour lui, voir Tchii avec tel ou tel vêtement l'importait peu, tant que ça plaisait à la fille. C'est pour cela qu'il répondit simplement : -Si cela te plait, prend-le. *De toutes façons, j'ai encore une bonne partie de l'héritage de mon père sur ma carte bleue, sans compter mon revenu mensuel en tant que directeur d'entreprise.* Et oui, bien qu'il n'avait que 25 ans, Vergil était déjà directeur d'une entreprise basée sur l'informatique. Et il avait bénéficié de la majorité de l'héritage de son père. Tout cela faisait de lui un individu assez riche. Ces quelques derniers jours, il s'était permis de prendre deux semaines de congé : il avait donc eu le temps d'ouvrir la porte des démons, d'y entrer et de vivre toutes ses aventures jusqu'ici. Il ne lui restait plus qu'une semaine, après quoi il devrait reprendre son boulot. Il regarda Tchii des pieds à la tête. C'était rare de la voir s'habiller de vêtements noirs, la première fois qu'il l'avait rencontré, elle était vêtue d'une robe de poupée. Le changement était assez brutal...Même si Vergil importait peu d'importance aux vêtements, on pouvait noter qu'ils changeaient totalement Tchii : d'une fille s'habillant comme une gamine de 6 ans, elle passait à une adolescente s'habillant un peu à la gothique. |
| | Posté le 27-01-2007 à 22:32:51
| Elle hésita un moment, lançant de sregards furieux à la vendeuse. "Demandez à votre petit ami ce qu'il en pense" Gnagnagnagna. Et puis quoi encore? Le seule résultat était que Vergil s'en fichit éperdumment, et qu'en plus, ça l'enuyait surement beaucoup. Elle eut un léger soupir. Non ça ne me va pas, désolée. C'est trop noir et trop décolté en plus, ça n'est vraiment pas pratique. Elle parcourut rapidement les rayons, jugeant que les gouts de la vendeuse était vraiment trop pétasse à son gout. Elle finit par trouver un très joli dos nu orange, décolté mais pa sà l'excès, laissant un peu voir son ventre, et alla l'enfiler en cabine. Elle sourit devant son reflet. C'était plus commode, plus joli et ça la vieillissait tout autant que l'autre, sans pour autant la faire passer pour une gamine stupide essyyant de passer dans une boite de nuit rservée aux plus de 25 ans. Elle sortit, adress aun sourire confiant à Vergil et traversa le magasin, reconnaissant tout de même que ces vêtements avaient l'art de murir son attitude et sa démarche. Elle paya et se tourna vers le jeune homme avec un sourire calme, complètement transformée. Nous y allons? |
| | Posté le 27-01-2007 à 22:43:06
| Vergil sourit à Tchii. -Très bien. Ils s'en retournèrent à la voiture de sport, Vergil fit son gentleman et ouvrit la portière à Tchii. Il s'assit ensuite à la place du conducteur, et inséra la clé pour allumer le contact. Il posa les mains sur le volant, mais avant de démarrer, il demanda à Tchii, sans détourner le regard de la route qui se tenait devant lui : -Tu es bien sûre que tu veux y retourner?...Maintenant? Il parlait bien entendu du monde des démons qui effrayait tant Tchii. Il ne voulait pas qu'elle pique une nouvelle crise devant toutes les horreurs qu'on pouvait y trouver. |
| | Posté le 28-01-2007 à 10:06:11
| Elle fronça les sourcils, l'interrogeant du regard, ne comprenant pas très bien de quoi il voulait parler. Puis, elle murmura un petit oh, et eut un sourire amusé. Nous n'aurons pas besoin d'aller bien loin. Je sens sa présence il est à peine à deux pas. Je vous l'ai dit ce collier me lie à lui. C'est écoeurant mais c'est comme ça. Il est au centre ville, à 50mètres à peine de l'agence de votre frère. Elle sentt son coeur se serrer légèrement d'angoisse et marqua une courte pause avant d'ajouter. Souvenez vous pas d'imprudence. Il est très fort et je ne veux pas vous faire tuer. Si ça peut vous aider de le savoir, les armes blaches ne l'atteignent pas, il se désintègre totalement pour éviter les blessures. Il a deux épées et... Il ets bien plus fort que ce que sa maigreur laisse entendre. Et laissez moi aller lui parler avant de passer à l'action. Je préfère d'abord vérifier qu'il n'y a vraiment aucun moyen d'éviter la violence. |
| | Posté le 28-01-2007 à 10:32:13
| -Aucune attaque physique ne peut l'atteindre, dis-tu? Apparemment, ce Temosare semblait invincible. Vergil ne disposait que d'attaques physiques, mises à part ses épées magiques de lumière bleue, mais même elles agissaient comme une épée en cristal qui attaquait à distance...Non, Temosare devait bien avoir un point faible quelque part...Un point faible que l'on pouvait toucher avec un coup physique! Sans quoi, Vergil, n'ayant aucune autre forme de magie que ses épées de lumière et sa téléportation, ne pourrait rien faire contre lui. Mais après tout, il n'était pas nécessaire de le tuer. Une simple raclée suffirait. Même s'il était très fort et qu'il ne craignait pas la douleur, c'était possible de l'humilier d'une raclée. Vergil sourit à Tchii, et lui dit : -Honnêtement, je ne pense pas être en mesure de le battre. Il démarra la voiture et roula jusqu'à la place de la ville, l'endroit que lui avait indiqué Tchii. |
| | Posté le 28-01-2007 à 16:31:42
| Alors n'essayez pas. Elle avait dit cette phrase d'une voix qui l'étonna elle même. Ca n'avait rien d'une supplication, ni un couinement apeuré. C'était une simple constatation froide et neutre. A croire que Vergil déteignait sur elle. Elle regarda par la fenetre sans ajouter un mot d eplus, le visage sombre. Elle voyait un peu son reflet dans la glace, atténué par le paysage. Un visage froid. Peut être avait elle été plus affectée que ce qu'elle avait d'abord cru. Elle ne s esentait plus du tout la même. Elle avait vu tellement d'horreur en l'espace de quelques jours qu'il était devenu impossible pour elle de continuer à jouer les gamines futiles et innocentes. Elle devait murir et elle le savait très bien. De toute façon je vous l'ai dit, je veux avant tout lui parler. Je n'ai pas le courage d'y aller seule, mais je ne vous demande pas non plus de jouer les héros. |
| | Posté le 28-01-2007 à 16:41:44
| Vergil fut surpris du ton de la voix de Tchii. Ce n'était plus la même voix que celle de la gentille gamine naïve et innocente, c'était celle d'une fille sûre d'elle. Il lui dit d'abord d'une voix douce : -Lui parler ne servira à rien, Tchii...C'est un démon, il ne t'écoutera pas. Crois-moi, je sais mieux que personne d'autre ce que sont réellements les démons... Il marqua une courte pause, avant de reprendre d'un ton plus froid : -Tu n'obtiendras jamais rien d'un démon. |
| | Posté le 28-01-2007 à 16:46:15
| Elle ne répondit tout d'abord rien, plongée dans se spensées, puis finit par hausser les épaules. Peut être. Mais ce n'est pas pour le raisonner que je veux le voir. Simplement pour le prévenir. Elle n'ajouta rien de plus, préférant laisser sa phrase en suspend. Elle n'était pas sure d'elle et ne voulait pas affirmer qu'elle était en mesure d ele détruire si ce n'était pas le cas. Elle se contenta simplement d'ajouter. Voyez vous, le mal est une lame à double tranchant. Il apporte une puissance que le bien ne peut atteindre, mais il suffit d'une étincelle pour qu'il soit détruit. La lumière ets bien plus forte que les ténèbres, à condition de l'utiliser à bon écient. hj: On continue dans le topic entre Temosare et Setsuna. Setsu va partir de tte façon |
| | Posté le 30-01-2007 à 06:08:11
| Dante s'approcha de son agence Devil May Cry en ayant dans les bras un corps de femme et accroché à la ceinture par les cheveux une tête grise ensanglantée. En effet, Dante était retourné dans le monde inférieur pour y retrouver un démon du nom de Zaragai. Celui-ci ayant tué beaucoup d'humain pour le plaisir. Là bas il y avait retrouvé Laila, une démone avec qui il s'était lié d'amitié bien qu'il ne la connaisse que depuis quelques heures. Celle-ci l'avait aidé à éliminer Zaragai. Après leur travail accomplit ils étaient sur le point de repartir lorsqu'un démon au teint rouge les avait attaqué. Il avait l'air furieux mais après quelques minutes de combat, Laila fut tuée par ce démon qui s'était présenté sous le nom de Number 666. Elle avait eu le temps de lui laisser un mot avant de mourir, dedans elle lui demandait de l'enterrer sur terre. Dante se rendit compte que la porte de l'agence était ouverte, il y entra et pu voir que quelqu'un avait tout dévasté à l'intérieur...Manquait plus que ça. C'était peut être Number 666? Impossible, il aurait tout brulé si ça avait été lui. Dante ayant la tête de Zaragai, put empocher l'argent qu'il avait gagné. Celui-ci étant d'une très grande somme. Il répara son agence et utilisa l'argent pour acheter une belle pierre tombale. Plus tard il enterra Laila. Est-ce que l'âme des anges et des démons disparait quand ils meurent? Un humain en mourrant, peut devenir un ange ou un démon mais un démon ou un ange qui meurt? Est-ce que lui, demi-démon et fils de Sparda disparaitrait entièrement lorsqu'il mourrait? Dante revint dans son agence quelques temps plus tard. Number 666 allait subir sa vengeance. Une fois arrivé il observa les armes et les trophés qu'il avait obtenu au cours de ses missions. Sur le mur étaient disposés toutes sortes de morceaux de démons. Des têtes, des crânes et des os en tous genre y étaient entreposés. Sur le mur adjacent se trouvait les armes de Dante. Une épée nommée rebellion, un nunchaku à trois branches bleu pale, une guitare nommée Nevan, les gants Ifrit ainsi que d'autres armes. Dante planta Agni et Rudra sur le sol étant donné qu'ils préféraient avoir la tête à l'endroit puis il équippa Cerberus, le nunchaku bleu possédant la puissance de la glace. * Avec ça il ne fera pas long feu ce Number 666. * Dante se posa sur sa chaise. |
| | Posté le 18-02-2007 à 21:18:41
| Dante revint chez lui tard dans la nuit. Il se prépara pour aller dormir et se coucha dans son lit. Le lendemain, il se leva et prit une douche avant de s'installer au bureau de son agence et de lire un livre. |
| | Posté le 18-02-2007 à 22:09:29
| Vergil conduisait à toute allure, se dirigeant vers l'agence de son frère. Il voulait dans un premier temps récupérer son collier, mais également lui parler. La dernière fois, il n'avait pu lui dire certaines choses qu'il aurait voulu car il n'avait pas eu le temps. Après une folle conduite dans les rues d'Ogichi, passée inaperçu pour les policiers, il freina d'un coup sec devant le Devil May Cry. Vergil sortit de sa Corvette, la ferma à clé, et marcha doucement vers la porte d'entrée. Il entra dans le bureau et eut le plaisir de voir Dante en pleine lecture, assis à son bureau. Il dit avec un sourire : -Ainsi, tu es revenu à ton bureau, Dante. |
| | Posté le 19-02-2007 à 16:59:23
| Dante ne leva pas les yeux du livre. Il savait très bien que c'était Vergil à la voix reconnaissable. - Laisse moi tranquille, tu vois pas que je suis occupé? Pour une fois que je lis. |
| | Posté le 19-02-2007 à 20:40:48
| Vergil marcha lentement en direction du Dante qui n'avait pas détourné le regard, tout en disant avec un sourire plus léger : -Tu n'as pas l'air ravi de revoir ton frère jumeau. Il s'arrêta juste devant le bureau, et, sortant Yamato de son fourreau avec une extrême rapidité et précision, trancha le livre en deux, sans blesser Dante. Il rangea son arme tout aussi rapidement, et continuait de regarder Dante, en fronçant les sourcils. Il déclara : -Je suis venu récupérer ce qui m'appartient. Rend-moi mon amulette, Dante. |
| | Posté le 19-02-2007 à 22:01:54
| - Je te la rendrais ptet si tu me rachète le livre que tu viens de détruire. Dante posa les pieds sur la table. - Regarde, tu vois une amulette sur moi? Dante avait en effet exceptionnelement enlevé les amulettes autour de son cou avant de prendre sa douche. |
| | Posté le 19-02-2007 à 22:15:06
| Vergil sourrit. -Je sais que tu les as. Il tourna le dos à son frère et regarda le sol. -J'ai des informations qui pourraient t'interesser, je te les dirais si tu me rends mon amulette. Il serra le poing et dit d'une voix plus mesquine. -Elle m'appartient. Et elle ne doit pas arriver dans les mains de quelqu'un d'autre. |
| | Posté le 22-02-2007 à 20:46:25
| Dante observa Vergil. - Des informations? Sur quoi? Il pensait n'avoir besoin de rien, il n'avait pas vraiment de choses sur lesquelles il se posait des questions pourtant. Dante pensait qu'il pouvait toujours menacer Vergil de vendre son amulette. C'était un avantage qu'il avait sur lui. |
| | Posté le 22-02-2007 à 21:02:36
| Vergil sourrit à nouveau, toujours en tournant le dos à Dante. -Je te le dirais si tu me rends mon pendentif. Puis il se retourna, prenant un air sérieux. Il demanda très distinctement : -Ou est-il? |
| | Posté le 22-02-2007 à 21:46:11
| - En sureté ne t'inquiéte pas. Très bien, je ne vois aucune objection à te le rendre. Mais comment pourrais-je savoir que tu possède vraiment l'information dont tu parles? Et comment pourrais-je être certain qu'elle n'est pas érronnée? Dante enleva ses jambes de sur la table pour s'accouder dessus et plus se concentrer sur les paroles de Vergil. |
| | Posté le 22-02-2007 à 21:48:23
| Vergil sourrit encore une fois. -Il ne tient qu'à toi de faire confiance à ton frère, Dante. |
| | Posté le 22-02-2007 à 22:00:48
| - Tu as toujours eu des sales méthodes pour atteindre tes fins Vergil. Ca ne m'étonnerais pas vraiment que ce soit une nouvelle méthode que tu met à execution. Dante se leva de sa chaise, fit quelques pas en direction de la porte et s'arrêta. - Mais je vais quand même te rendre ton amulette. Je comprend que tu y tienne après tout. Il parti par la porte et revint quelques instants plus tard, l'amulette de Vergil à la main. |
| | Posté le 22-02-2007 à 22:08:01
| Il eut un regard envieux en revoyant son amulette. Il s'approcha de Dante et tenta de prendre l'amulette en le remerciant. |
| | Posté le 23-02-2007 à 19:41:45
| Dante lui donna l'amulette puis retourna s'assoir. - Qu'est-ce que tu avais à me dire? |
| | Posté le 23-02-2007 à 19:56:20
| Vergil mit son amulette autour du cou, et se retourna vers Dante. -J'aurais voulu te le dire hier, mais ça ne s'est pas passé tout a fait comme je l'avais prévu... Il regarda ensuite Dante en fronçant les sourcils. -Mundus, le prince des démons, est mort. Il marqua une courte pause. -...Et a été remplacé par une femme. |
| | Posté le 23-02-2007 à 22:22:50
| - Vraiment? Tu n'as plus aucune raison de vengeance alors. Ca expliquait le fait que les démons se soient calmés alors. |
| | Posté le 23-02-2007 à 22:34:10
| Vergil sourit à Dante. -Je n'ai pas pu assouvir ma soif de vengeance, mais ne crois pas que je vais abandonner si facilement. Il se retourna et se dirigea vers la sortie, avant de tourner à nouveau la tête vers Dante. -Que cela te plaise ou non, je suivrais les traces de notre père Sparda. |
| | Posté le 24-02-2007 à 08:49:57
| - Ca devient une vraie obsession, Sparda a disparu et je ne vois aucune raison pour suivre ses traces. Vergil, cette obsession va finir par te tuer. |
| | Posté le 24-02-2007 à 16:03:15
| Vergil rit un court moment, avant de déclarer : -Stupide sont ceux qui ne recherchent pas la puissance. Il se mit entièrement face à Dante avant de continuer : -Le pouvoir de Sparda me rendra immortel et bien plus puissant que je ne le suis. Il fronça les sourcils ensuite en regardant son frère: -Combien de temps crois-tu que tu garderas ton corps jeune et puissant, Dante? Sans plus de pouvoirs, tu t'affaibliras, et tu finiras tué par un démon...Ou peut-être même par un humain. Puis il eut un regard amibitieux, et positionna sa main droite en position ouverte, la paume dirigée vers le haut, devant lui, en la regardant. -Le pouvoir... Il referma lentement sa main, toujours avec ce regard ambitieux. -...est la clé de toutes choses. |
| | Posté le 25-02-2007 à 22:49:33
| Dante se leva. Il marcha en parlant jusqu'au mur où étaient exposées ses armes. - Si cela m'arrive, ça voudra simplement dire que j'ai fait mon temps. En fait, Vergil, tu as peur de la mort. C'est cette peur qui te pousse à faire tout ce que tu fais? Cette quête va finir par faire rapprocher très nettement le jour que tu redoute tant. Il resta face au mur, l'observant avec attention. |
| | Posté le 25-02-2007 à 23:40:47
| -...La mort?... Vergil ferma les yeux, et sourrit légérement, avant de les rouvrir sur Dante. -La mort fait partit de la vie, je n'ai aucune raison de la craindre. Il fronça légérement les sourcils, toujours en regardant son frère. -Ce qui m'effraie, et qui me désappointe à la fois, c'est la faiblesse, Dante, la faiblesse. Il commença à se retourner vers la sortie mais interrompit son geste. -ah, j'allais oublié le plus important... Vergil se dirigea vers Dante lentement, tout en disant : -Je ne suis pas venu ici uniquement dans le but de récupérer mon amulette et de te parler de la pluie et du beau temps... Il s'arrêta un moment. -La mort du Prince des Démons a eu de nombreuses conséquences...En allant dans leur monde, j'ai pu voir qui était la reine des démons, j'ai notamment rencontrer leur général... Il vint à côté de Dante et le regarda sérieusement. -Tu es un chasseur de démons, non? Et moi, j'ai eu un petit différend avec ce démon là...Temosare.
Message édité le 26-02-2007 à 12:45:05 par Vergil |
| | Posté le 26-02-2007 à 12:53:04
| - Temosare? Dante se retourna puis s'approcha du bureau où il prit une feuille qu'il montra à Vergil. Le nom de Temosare y était écrit en dessous de celui de Zirdanas Quel'Noros. - Ce Temosare là? Comme tu le vois, il est déjà sur ma liste. |
| | Posté le 26-02-2007 à 13:20:24
| Vergil lit la feuille et remarqua en effet que Dante avait déjà entendu parler de Temosare. -J'ai eu l'occasion de me battre contre lui...Temosare n'a rien à voir avec les démons que l'on a déjà pu vaincre. J'ai eu du mal à le blesser, et je doute que tu puisses en faire d'avantage. Il marqua une pause, et se tourna vers le mur oû étaient disposées les armes de Dante. Il en avait une sacré panoplie... -Ce démon a la particularité de se décomposer en des milliers de morceaux et de se recomposer comme il le souhaite...Physiquement, il est intouchable. Puis il se tourna à nouveau vers Dante. -Je dois trouver le moyen de tuer Temosare. Ce n'est même pas pour moi que je dois le faire, mais pour protéger quelqu'un...Temosare a une limite, s'il utilise trop son pouvoir, il se fatigue, et sa femme vient le sauver...Dante, à deux, je devrais pouvoir régler le compte à Temosare pendant qu'il est à bout, si de ton côté tu t'occupes de sa femme. C'est un marché que je te propose, et on y est tous les deux gagnants : tu auras un démon très puissant de moins sur ta liste, et moi je serais débarassé de lui. |
| | Posté le 26-02-2007 à 20:29:29
| - Une association?... Très bien, j'accepte volontier. As-tu une idée de sa position? Dante retourna face au mur et y prit Alastor ainsi que Agni et Rdura. |
| | Posté le 26-02-2007 à 21:43:36
| Vergil réfléchit un instant. -Notre dernier combat a eu lieu hier...Il était très fatigué à la fin, il a dû retourner au monde des démons, mais je ne sais pas ou exactement... En même temps, Vergil pouvait très facilement trouver Temosare, car c'était Temosare qui viendrait à lui...Ou plutôt à Tchii. Non, il ne pouvait pas se servir d'elle comme d'un appât, jamais. Même si c'était la seule solution pour retrouver Temosare, il ne pouvait se résoudre à mettre Tchii en danger une nouvelle fois. -Nous en discuterons chez moi, si tu le permets. Il commença à se diriger vers la sortie de l'agence, un sourire ravi de pouvoir travailler avec son frère comme au bon vieux temps, le temps oû ils combattaient des démons ensembles et disaient "Jackpot!" en tirant sur les ennemis pour les finir... |
| | Posté le 26-02-2007 à 22:09:20
| Dante activa le répondeur du téléphone et sorti derrière Vergil avant de fermer la porte et de le suivre. |
| | Posté le 27-02-2007 à 17:50:31
| Ils entrèrent dans la Corvette, et Vergil le conduit jusque chez lui. -ça fait longtemps, n'est-ce pas, que tu n'es pas revenu dans ton ancienne demeure? |
| | Posté le 07-03-2007 à 15:31:02
| Elle avait fini par décider de se promener un peu, incapable de se décider à affronter Temosare à nouveau. Ses pas la conduisirent sur le lieu de l'agence et elle s'assit sur un muret, ne sachant pas très bien que faire. C'est à ce moment là qu'une femme arriva. Elle était d'une beauté éblouissante et son aura était aussi noire que celle de Temosare. Elle était planté devant elle, les bras croisés, un sourire en coin fiché sur le visage. J'ai ordre de te ramener une de tes connaissances. Tchii sut immédiatement qu'il s'agissait de Temosare. Elle ne savait pas très bien ce que ça signifiait mais elle prit ça comme un signe. Il était temps pour elle d'effectuer le grand voyage. Elle soupira, s'attacha les cheveux à l'aide d'un crayon qui s etrouvait dans sa poche et descendit de son muret. Je vous suis... Elle partirent toutes deux en direction du Jigoku... |
| | Posté le 25-03-2007 à 20:20:19
| Dante rentra chez lui après un combat contre Zirdanas et dans un sens Temosare où il n'avait pas été blessé mais le fait de n'avoir tué aucun des deux constituait pour lui une défaite. Il fallait les prendre séparément ces deux là. Déjà qu'il aurait surement du mal contre l'un d'entre eux seulement il était normal qu'il perde contre la puissance unie des deux démons supérieurs. Dante entra dans son agence, décidant de la fermer pour aujourd'hui, il activa le répondeur du téléphone puis monta dans sa chambre, ses habits devaient être changés après s'être fait déchirer lors du combat. Il resta ensuite paresseusement devant la télévision repenssant à son combat précédent. |
| | Posté le 25-03-2007 à 20:56:12
| Vergil, transformé en Devil Trigger et chargé de colère, sauta depuis un toit d'une maison au voisinnage et attérit dans la pièce ou se situait Dante en passant par la fenêtre. D'une voix légérement métallisée, il dit : -Donne moi ton amulette, Dante. Il se téléporta ensuite à pleine vitesse vers lui et tenta de lui donner un coup de poing au ventre d'une rapidité fulgurante. Son amulette se situait comme d'habitude à son cou. |
| | Posté le 25-03-2007 à 21:11:02
| Dante complétement surprit se prit le coup de plein fouet et sous le choc s'envola et défonca le mur donnant sur la salle de bain où il attérit sur le dos au milieu des gravats. Il se releva en titubant légérement et reconnu son frère malgré son état démoniaque. - Vergil?! Il était clair que Vergil n'était pas venu pour bavarder et Dante réfléchissait déjà au moyen d'atteindre le rez-de-chaussé où ses armes étaient exposées. |
| | Posté le 25-03-2007 à 21:18:43
| Sans rèpondre, il se téléporta et se retrouva instantanément dans le dos de Dante. Puis il le prit à la gorge et le souleva. Le fait qu'il soit en état de Devil Trigger lui permettait de dépasser largement son frère qui lui, ne s'était pas transformé. Il arracha le collier du cou de Dante et jeta son frère à l'autre bout de la pièce. Il regarda l'amulette de Dante en riant légérement, puis son regard revint sur Dante qui se trouvait à quelques mètres au sol. -C'est pour elle que je le fais. Pas contre toi, Dante. Il fit apparaître deux épées magiques lumineuses et les envoya en direction de Dante. Elles étaient destinées à s'enoncer dans son ventre pour le retenir et l'empêcher de le suivre. N'attendant même pas le résultat de son attaque à distance, il courrut vers la fenêtre et repartit comme il était arrivé. *Enfin...Le pouvoir de Sparda sera miens!* |
| | Posté le 25-03-2007 à 21:54:58
| Dante se prit également les deux épées de lumière. - Graaah Vergil!!! Dante attrapa les lames à main nu et forca pour les extirper de son corps. Il s'approcha ensuite de la fenêtre, cherchant du regard Vergil puis se retourna et entra dans la cuisine en se tenant le ventre au niveau de ses blessures. Pourquoi Vergil avait-il fait ça? Ca avait été trop rapide et soudain, il n'avait pu réagir. Dante descendit en bas et revêtit son manteau rouge avant de s'équiper de son épée rebellion, de ses pistolets Ebony & Ivory et de Cerberus son nunchaku de glace. Deux heures seulement après être venu le chercher ici même pour lui demander de l'aide, il revenait pour l'attaquer. Dante sorti de son agence.
Message édité le 25-03-2007 à 21:55:44 par Dante |
| | Posté le 26-03-2007 à 18:27:37
| Elle attdnit plus d'une demi heure. Elle avait entendu un bruit et avaiit voulut voir ce qui se passiat mais Vergil avait l'air en colère et pour tout dire, elle avait peur de... De quoi au juste`? Pourquoi était il si nerveux soudianement? Elle finit par monter les escaliers et toqua à la porte. Vergil...? Pas de réponses. Elle fronça les sourcils et essaya d'ouvrir. Fermé. Elle dit d'une voix plus nette. Vergil! Vergil c'est moi! Ouvre! Eh!!! Ouvre moi!!¨ Elle commençait à paniquer. Que s'état il passé? Elle ne l'avait quitté que quelques minutes. Elle enfonça la porte en s'aidant de son pouvoir et trouva la salle de bain à moitié ravagée. Elle crut qu'elle allait avoir une attaque et s'étrangla. Vergil... Elle était encore trop faible pour voler, aussi descendit elle les escaliers à tout allure avant de sortir sans même se soucier de fermer la porte. Sans réfléchir, elle courut jusqu'à l'agence de son frère Elle rentra comme une bombe et le découvrit debout, préparant ses armes. Il avait été blessé. De slarme sde panique coulaient sur le sjoues de la eune fille et elle s'effroçait de tout son être de nier l'évidence flagrante. Dante? Ca va? Mon Dieu, c'est horrible. vergi... Quelqu'un a du nous attaquer, il ets introuvable... Un démon vous en veut? Merde ou est il bon dang, je... Elle reconnut soudain la blessure infligée à Dante. Faites par des épées fines, lumineuses. Celles de Vergil. Le choc fut tel qu'elle recula de quelques pas, les yeux écarquillés de terreur. Non... Pas ça. Vergil... Non! Elle fit demi tour et courut dehors, suivant à la trace Vergil grace aux dégats qu'ils provoquaient, essayant tant bien que mal de rester le spieds sur Terre malgré les questions qui lui embrouillaient la tête. Pourquoi? Que lui était il arrivé? Pourquoi maintenant? A cause d'elle? Il la haissiat tant que ça? Peu importe, il fallait qu'elle le retrouve. Avant son frère. Il fallait qu'elle le raisone, qu'elle l'aide. Jamais elle ne le laisserait se faire tuer. Et surtout pa spar sa faute Elle l'aperçut quelques mètres plus loin, toujours sous s aforme de démon enragé et se stoppa net, le visage trempé de larmes te de sueur. Vergil... Bien sur que c'était de sa faute. Evidemment. Il était un démon. Elle avait voulut réveiller l'humain qui était en lui et voilà le résultat... Quelle ironie! Comment avait elle pu croire qu'elle pouvait le résoudre à mener uen vie aussi médiocre? Elle le svaiat. Elle avait toujours su... Elle le rendait malheureux.
Message édité le 26-03-2007 à 18:51:44 par Tchii |
| | Posté le 26-03-2007 à 19:05:27
| Tchii complétement paniquée entra dans son agence et après avoir posé des tas de questions elle sembla s'apperçevoir de quelques chose et sortit de l'agence aussi vite qu'elle y était entrée. Dante finit de préparer ses armes puis sortit à son tour. Apparement Vergil ne s'était pas trop éloigné après lui avoir dérobé son amulette et Tchii était en train d'essayer de le raisonner. Dante resta à l'écart ses pistolets aux mains attendant la suite pour agir. |
| | Posté le 26-03-2007 à 19:10:39
| Elle entendit Dante arriver derière elle, elel vit ses révolver et pria le ciel pour la 1000 ème fois de la semaine pour que tout ceci soit un rêve éveillé. Elle sentait qu'elle allait perdre connaissnace. Déjà, son esprit délirait complètement. Allait elle retomber dans le coma? Allez savor, elle en serait bien tentée. Elle ne voulait plus de cette vie, elle ne voulait plus d'un amour pareil et elle ne voulait plus les voir. Personne. Elle n'en pouvait plus. Voir Vergil se détruire par s afaute chaque jour un peu plus était insupportable. Non elle ne tomberait pas dans le coma. Elle allait faire une chose bien plus douloureuse. Elle allait partir. Raisoner Vergil et s'en aller. Pour toujours? Peut être pas. Mais elle ne supportait plus de le voir ainsi se battre pour renier sa nature et sa vie. Par s afaute. Elle refusaait de continuer à le voir aussi malheureux. Pour leur bien à tous, elle partirait. Loin. Longtemps. Ils ne pouvaient pas continuer dans cette voix là. Vergil... C'est moi... Je te demande pardon. Reviens. S'il te plai. Calme toi. |
| | Posté le 26-03-2007 à 19:30:46
| Vergil se sentait s'affaiblir. Il n'avait pas eu le temps de récupérer assez de puissance pour garder le mode Devil Trigger bien longtemps, et il était parti de chez lui sans ses armes. Il aurait espéré rentrer chez lui avant la fin de sa transformation, mais c'était trop tard, une sorte de sphère violette et noire apparut autour de lui et disparut aussitôt. Vergil avait repris forme humaine. Heureusement qu'il s'était habillé avant de fuir de chez lui... *Mince...Il me reste encore un peu de chemin à faire pour atteindre Force Edge, mais maintenant que je n'ai plus de pouvoirs, Dante va vouloir récupérer son amulette...* Il mit l'amulette de Dante, qu'il tenait dans sa main droite jusqu'à prèsent, à son cou, au côté de son propre collier. Tous deux brillaient d'une lueur rouge intense comme s'ils étaient prêts à fusionner. Vergil sourrit à Tchii et lui rèpondit : -Tu ne comprends pas...Je le fais pour toi, Tchii. Pour nous. Il regarda ensuite Dante avec un regard haineux, puis son regard revint sur Tchii en s'attendrissant. -Je m'affaiblis...C'est une évidence. Mais avec le pouvoir de Sparda, je deviendrais plus fort que je ne l'ai jamais été, et je pourrais nous protéger des démons qui viendront nous attaquer. Je nous débarrasserais de tous les démons! Il lança à nouveau un regard à Dante pour s'adresser à lui : -Ne t'oppose pas à moi, Dante. Il me reste encore suffisemment de puissance pour te tuer. Il bluffait. Il avait utilisé beaucoup de forces pour son combat contre Number 666, et ses dernières ressources dans cette ultime transformation. Il fallait absolument qu'il en récupére. Il fallait qu'il obtienne le pouvoir de Sparda! Il devait rentrer chez lui, là oû été rangée précieusement Force Edge. Il recula de quelques pas, scruta les alentours d'un rapide coup d'oeil avant de se téléporter. C'était la dernière téléportation qu'il pouvait faire pour l'instant, il fallait qu'il choisisse le bon endroit : il apparut discrètement sur le toit d'une maison voisine, s'abaissant afin qu'on ne puisse pas l'apercevoir, et sauta de l'autre côté de la maison, pour arriver sur une autre ruelle, à l'abris de Dante et de Tchii. Sa maison se trouvait dans la rue encore après. Il y courrut de toutes ses forces, sans même regarder si les deux avaient retrouvés sa trace, et rentra dans sa maison. |
| | Posté le 26-03-2007 à 19:36:54
| Elle écouta prononcer ces paroles, une boule s eformant un peu plus à chaque mot rapportée par le démon. Elle ne voulait pas de ça. Ni pour lui, ni pour elle. Elle sentit les larme sffluer quand il se téléporta enfin et renifla buryemment avnat d'essuyer ses joues. Puis elle se tourna vers Dante avec un sourire douloureux. Cette fois, c'est bien fini... On ne peut pas continuer comme ça hein? Question oratoire. Elle n'attendait pas de réponse. La réponse, elle la connaissait, et c'était ça qui lui faisiat le plus mal. Ellr prit la bague de s apoche et la tendit Dante. Encore désolée pour le dérangement, Je crois que je le rends un peu plus fou chauqe jour... J'espère qu'après ça, il vous laissera. je ne sais pas... Vous lui direz bien que je l'aime et que... J'espère qu'il ne m'en voudra pas trop. Je le fais pour lui. Il comprendra. Elle soupira, regarda une dernière fois le lieu qu'avait quitté Vergil et réunit toutes ses dernières forces pour prendre son envol... |
| | Posté le 26-03-2007 à 19:51:54
| Dante observa la bague que lui avait donné Tchii avant de la regarder s'envoler. * Vergil imbécile, pourquoi est-ce qu'il faut que tu choisisse toujours la mauvaise solution? * Dante avait comprit que Vergil voulait obtenir le pouvoir caché de Sparda. Il avait tout en sa possession. Tout sauf une chose apparement, force edge, l'épée de Sparda n'avait pas été emportée par Vergil. La première chose qu'il ferait serait surement de se précipiter la récupérer. Quel imbécile, la puissance libérée pouvait détruire la ville s'il s'y prennait de la mauvaise façon. Vergil avait trois avantages, il avait les deux amulettes, il savait précisément où se trouvait force edge et il avait disparu du champs de vision de Dante. Peut-être avait-il déja atteint l'épée. Dante se dirigea vers la maison de Vergil en se disant qu'il y avait de grandes chances que celui-ci l'ait cachée dans un autre endroit mais Dante ne voyait pas d'autres endroits possibles. |
| | Posté le 12-06-2007 à 18:48:18
| Dante rentra chez lui après que Vergil l'ait raccompagné en voiture. Il rouvra l'agence et vit qu'il avait reçu quelques messages pendant son absence. Ces messages étaient assez récents et lui proposaient du travail. Il ne rappella pas mais s'assit à son bureau en attendant que l'on rappelle ou qu'on vienne directement lui rendre visite. Il garda Alastor dans sa main la pointe contre le sol comme pour s'appuyer. Il se replongea dans la lecture du livre que Vergil lui avait tranché et qu'il avait du racheter en ville. |
| | Posté le 17-06-2007 à 22:28:40
| Il fonçait depuis le champ de bataille près de Nimaj Neb jusqu'à Ogichi, suivant la trace de Vergil indiquée par son instinct. Il volait à toute allure, au dessus des nuages, se masquant ainsi des humains. Il regardait droit devant lui. Soudain il vit une énorme masse en feraille volait dans le ciel. Il s'agissait d'un avion qui fonçait droit sur lui et qui ne semblait pas l'avoir vu à cette distance. Mais il fonçait tellement vite que le temps que les pilotes du Boeing l'aient vu, il les avait déjà percuté de plein fouet, et il traversait l'avion sur sa longueur, détruisant tout sur son passage, continuant toujours tout droit. Il finit par sortir de l'avion, lorsqu'il l'eut totalement traversé, et le gros tas deferaille, perforé sur toute la longueur en son centre, explosa dans les airs et se scracha. Dark Sparda arriva alors à Ogichi. Il aperçu l'agence Devil May Cry, et certains souvenirs lui indiuèrent que Dante était là. Il n'avait pas voulu s'approprier le pouvoir de Sparda, et par conséquent Dark Sparda n'avait aucune raison de le tuer. Il allait juste lui rendre une petite visite avec l'apparence humaine de son père. Il attérit devant l'agence, se dirigea vers celle-ci lentement, et ouvrit la porte tout aussi lentement. Il regarda Dante et lui sourrit. -Content de te revoir, mon fils. Qu'est-ce que Dante allait penser en voyant l'image de son père rentrer dans son agence, alors qu'il le croyait mort? |
| | Posté le 20-06-2007 à 14:04:58
| Dante fut surprit de voir Sparda dans son agence. Sparda était pourtant mort il y a longtemps. Il resta tout de même légérement sceptique. Il n'était pas improbable qu'un démon sachant que Dante était le fils de Sparda ait prit son apparence pour l'approcher. - Toi ici? C'est impossible! Il se leva de sa chaise. Il avait déjà vu un démon ayant l'apparence de sa mère, en voir un possédant celle de son père ne serait pas étrange. |
| | Posté le 23-06-2007 à 15:33:07
| Il sourrit et continua d'avancer lentement vers Dante. -Et pourquoi serait-ce impossible que je sois ici plutôt qu'ailleurs? Hum? Il leva les bras sur les côtés comme s'il s'apprétait à le prendre dans ses bras et ajouta : -Je ne pensais pas avoir la chance de te revoir, Dante. Tu as bien grandis, tu es même devenu un beau jeune homme. Ne viens-tu pas faire la bise à ton père? |
| | Posté le 25-06-2007 à 09:38:11
| - Mais non, tu es mort. Dante aurait pu dire cette phrase de maniére hésitante mais il l'avait dit d'un trait et sur son ton normal. Il ne répondit pas à l'invitation de son père pour lui faire la bise et posa la main sur Ivory, un de ses pistolet. - D'abord prouve moi que tu es bien Sparda et non un démon se faisant passer pour lui. Ca ne m'étonnerait pas que ce soit le deuxième cas. Il se souvint plus précisément que le pouvoir de Sparda avait été détruit, il était impossible que celui-ci revienne. - Ton pouvoir n'existe plus, tu ne peux être le vrai Sparda. |
| | Posté le 26-06-2007 à 12:35:58
| Il continuait de s'avancer vers Dante. Contrairement à son 'fils', il était désarmé. Il souriait toujours et lui répondit : -Je suis revenu du monde des démons. Ton frère a ouvert la porte que j'avais moi-même scellée, et il s'est approprié mes pouvoirs jusqu'à ce que je les récupère. Je suis très déçu, Dante, de vous deux. Pourquoi ne l'en as-tu pas empêché? Il regardait autour de lui. Apparemment, le fils de Sparda s'était trouvé une place dans la société, avec un métier à son image, et un joli bureau. Oui, le vrai Sparda aurait été fier de Dante. Son regard s'arrêta au torse du jeune homme et il lui demanda : -Tu n'as pas récupéré ton amulette... En réalité, les deux amulettes se trouvaient au sein même du corps de Dark Sparda. Elle n'avait pas été détruite, contrairement à ce qu'ils pensaient. Ou plutot, c'était lui même qui les avait réparé, c'était le seul moyen pour qu'il puisse à nouveau exister. |
| | Posté le 13-07-2007 à 13:45:36
| Dante serra son pistolet dans sa main. Ok il connaissait l'existance des amulettes et le fait que Vergil ait tenté de s'approprier ses pouvoirs mais ce n'était pas dit que c'était bien lui. - Comment aurais-tu pu récupérer tes pouvoirs? Les amulettes ont été brisées. Il se retourna et s'approcha du mur. - De toutes façons si tu les as récupérés, ceci ne te fera pas grand chose. Il se tourna brusquement vers ce Sparda et tira à plusieurs reprises dans sa direction. |
| | Posté le 02-08-2007 à 13:50:12
| Lorsqu'il entendit le bruit des tirs, il se téléporta à la manière de Vergil pour arriver à côté de Dante. -Allons Dante, ne fais pas ta mauvaise tête. Tu n'es pas heureux de retrouver ton chère père? Il posa sa main sur l'épaule de Dante, en signe d'affection et de confiance. -A prèsent, je vais pouvoir à nouveau veiller sur toi. Jamais plus un démon ni un humain ne tentera de s'approprier mon pouvoir, je te le promet. Il baissa la tête et retira sa main de l'épaule de Dante. -Mais avant ça, je vais donner la fessée qu'il mérite à Vergil, pour avoir voulu prendre mon pouvoir. C'est à croire qu'il n'a jamais écouté mes leçons celui là. |
| | Posté le 03-08-2007 à 17:05:03
| - Que?... * La même façon de se téléporter... * - Alors tu es vraiment revenu?.... Il entendit que Sparda voulait donner une correction à Vergil. - Je crois que Vergil a comprit son erreur maintenant. Il ne va plus agir de la même façon. |
| | Posté le 03-08-2007 à 17:26:37
| Il marqua un temps de réflexion avant de rèpondre calmement : -En es-tu bien sûr? Vergil est quelqu'un de têtu, qui recherche le pouvoir depuis toujours, et qui ne se retirera jamais à cette quête. S'il ne refait plus cette erreur, il en fera d'autres. Je vais le remettre dans le droit chemin avant qu'il ne soit trop tard. Sur ces mots, il se dirigea vers la porte de sortie de l'office de Dante. Avant de la franchir, il se retourna et salua Dante d'un signe de tête. -J'espère que nous nous reverrons, mon fils. Après qu'il eut franchit le seuil de la porte, il s'éloigna du bureau en marchant, et une fois qu'il fut sûr que Dante plus que n'importe qui d'autre ne pouvait plus le voir, il s'envola et fonça sur Vergil à la vitesse de l'éclair. |
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